Qu’est ce qui nous distingue des machines? Qu’est ce qui fait que nous soyons humain? En fait, une partie de la réponse à cette question réside dans le doute… Quelqu’un a dit un jour: je peux douter de tout, sauf du fait que je doute…
La voyance a bas prix, ça existe, et ça marche… Enfin… Dans certains cas… Il faut savoir parfois se méfier du low-cost ou encore du discount… Pour autant, est ce que cela signifie que tout ce qui n’est pas chère ne vaut pas un clou? Est ce que tout ce qui est cher en vaut vraiment le prix?
Un moral d’acier, ça se travaille, et c’est avant tout un travail sur soi. Comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises sur ce site, nous vivons dans un monde relatif: ceci est très important à intégrer si vous voulez avoir un moral d’acier…
Comprenez: une baisse de moral correspond la plupart du temps à un manque de présence à soi, un manque d’ancrage dans le présent. Vous vous dîtes sûrement: « il est mignon lui, mais comment je fais moi pour être plus ancré? ». Et bien, oui, c’est un très bonne question.
Trouver l’équilibre dans la vie, c’est le secret d’une vie harmonieuse. Combien d’entre nous sommes partagés entre les espoirs, les désillusions, les fausses promesses, les désirs, les rêves et la réalité?
Vivre sa vie pleinement, c’est tout d’abord la vivre sur les trois plans qui sont: le corps, l’âme et l’esprit. En effet, nous sommes des êtres à trois dimensions. Pour accéder à la plénitude, il faut faire coïncider ces trois aspects de qui nous sommes vraiment… Le nombre trois est à mon sens un nombre sacré. A l’occasion, j’essaierai d’en faire un article…
Faire le point permet parfois de se poser alors que nos conditions de vie nous poussent à agir sans attendre.
Agir sans conscience, c’est une preuve d’immaturité spirituelle. En fait, quand on agit en conscience, on ne peut plus culpabiliser pour quoi que ce soit… On peut toujours avoir des regrets, mais ce n’est pas la même chose.
Nous avions vu dans les articles précédents que bien souvent face à l’adversité, à l’hostilité dont peut faire preuve les autres à notre égard, ou encore tout simplement face à nos conditions de vie, nous pouvions être amené à baisser les bras.
Le meilleur qui reste à faire dans de telles situations est de reprendre courage. Votre destin est entre vos mains… Personnellement, je n’aime le terme « destin« , car il fait référence à l’inéluctable. Nous disions à ce sujet que l’une des rares choses inéluctables de la vie, est bien entendu la mort, autrement dit: « tout ce qui commence a une fin« . C’est l’une des lois de la dualité. Par ailleurs, je dirais à ce sujet que c’est ce qui ronge nos sociétés: la résistance au changement.
Faire la part des choses peut parfois nous permettre de nous délivrer. Nous délivrer de quoi? Et bien, nous délivrer de notre mental, ou encore nous délivrer de notre ego…
En occident, nous avons la fâcheuse tendance à vivre à peu près tout à travers notre mental. A l’inverse, en orient, le mental fait défaut. La voie médiane serait l’idéal: vivre profondément ancré pendant que le mental joue son rôle véritable.
Paranormal: ce qui m’a toujours fait doucement sourire avec ce terme, c’est son utilisation à tout bout de champ… En fait, il n’y a bien que les scientifiques qui l’utilisent à mon sens.
C’est comme le hasard… Et dire qu’il y a une science qui parle de ça… Mais bon, celle-ci sert à quelque chose en tout cas. Cependant, ce que l’on appelle hasard en fait, c’est un phénomène à propos duquel on a aucune maîtrise. Comme nous ne savons pas tout mettre en équation, et que l’on a absolument aucune idée de toutes les lois qui régissent précisément certains phénomènes, on invente un terme: le hasard. Comme si, les choses arrivaient par hasard…
Je crois qu’il y a une sensation qui peut être ronge notre société actuelle. Je parle bien sûr de l’occident, non pas des pays du tiers mondes confrontés à la famine, aux maladies et au manque d’eau potable…
Non, je parle d’un grand mal qui causent bien dégâts aussi… Il s’agit de la solitude. Paradoxalement, alors que les moyens de communications ont considérablement augmentés ses dernières années, nous communiquons de moins en moins. Ce qui en souffrent le plus, sont les personnes agées, laissées à l’abandon.
